Intégrale des quatuors à cordes de Ropartz (volume II)

**** du Monde de la  Musique

"Hautement recommandé" par Fanfare (USA)

"9" de Classica-Répertoire

5 diapasons

paru en novembre 2006

Joseph-Guy Ropartz (1864-1955)

Intégrale des quatuors à cordes (vol2): quatuors no4 / 5 / 6

Timpani 1C1115

www.timpani-records.com

Après un premier disque présentant deux oeuvres  de  maturité de Ropartz  , voici les trois derniers quatuors à cordes , s'échelonnant de 1933 pour le quatrième à 1948 pour le sixième, soit  entre la soixante-dixième et la quatre-vingt-cinquième année du compositeur.

On ne peut qu'être frappés par l'évolution du style du maître d'origine bretonne, depuis les deux premiers quatuors encore imprégnés de franckisme (le troisième marquant déjà une nette inflexion), jusqu'à ces oeuvres tardives pleines "d'une vigueur toute juvénile et d'une joie sereine et simple" , comme l'écrivait un critique de la Revue Musicale à l'écoute du quatrième quatuor.

Comme le dit si bien Arthur Honegger à qui est dédié le sixième quatuor, "on sent vivement que l'homme qui a écrit ces pages est en delà de toute préoccupation de succès extérieur et de réussite..."

Revue de presse: 

Diapason (Paris, février 2007) 5 diapasons

"... L'écriture, vive et décantée, évolue quelque part entre Ravel et Honegger. Est-ce la foi du musicien ou un indéfectible amour de la vie? sans doute les deux (...) Les Stanislas, qui avaient déjà enregistré le quatrième quatuor une décennie plus tôt, livrent une interprétation totalement maîtrisée, pleine de chaleur et de tendresse".

François Laurent

Classica-Répertoire  (Paris, février 2007) Note : 9/10

« Voici quelques mois, lors de la publication du premier volume de cette intégrale, consacré aux quatuors no2 et 3, nous soulignions le caractère réellement exceptionnel de ces œuvres, ainsi d'ailleurs que de la belle interprétation du Quatuor Stanislas. L'émerveillement se poursuit avec ce deuxième volume  (un troisième suivra) (...). Il est étonnant que de tels chefs-d'œuvre n'ont pratiquement jamais été joués depuis leur création. C'est dire l'importance de ces enregistrements, toujours interprétés avec précision et sensibilité, et de cette édition bien documentée. »

Jacques Bonnaure

Le Monde de la Musique (Paris, février 2007) ****

"... Si le quatuor no4, solidement structuré, indique déjà ce qui le distingue des opus précédents, à savoir une plus grande liberté, le quatuor no5 auquel le compositeur a donné le sous-titre "Quasi una Fantasia" est encore plus libre, ce qui n'exclut pas la gravité. Le quatuor no6, une des dernières oeuvre de Ropartz, retrouve l'architecture classique en quatre mouvements et se veut d'une approche plus simple. (...) Comme dans le premier volume, le Quatuor Stanislas met en lumière la richesse de la musique  de Ropartz. Avec cette intégrale, l'éditeur accomplit une action utile car il révèle aux discophiles des oeuvres qui devraient avoir plus souvent leur place dans les concerts."

Jean Roy

Fanfare  (USA, mars 2008) "Highly recommended"

" Le Quatuor Stanislas, fondé en 1984, est composé de musiciens vivant dans la région de Nancy, où vécut Ropartz. On ne peut les prendre en défaut sur le plan technique, ce qui est déjà en soi un exploit pour une musique dont la difficulté réside dans l'extrême  l'imbrication de l'écriture  des quatre parties (...) Dans les adagios, ils vont  véritablement au coeur émotionnel de chaque oeuvre.Hautement recommandé"

Barry Brenesal

GRAMOPHONE  ( Avril 2007)

Un compositeur français ayant écrit six quatuors : mais pourquoi n'est-il pas plus connu ?

« Les quatuors français tendent à être uniques;  qu'on songe seulement à ceux de Ravel et de Debussy, d Magnard, Roussel, ou Dutilleux. On pourrait alors imaginer qu'une série de six devrait être particulièrement bienvenue, mais, pour des raisons qui m'échappent, ceux de Ropartz demeurent négligés.  Le présent disque (second d'une série de trois) présente les trois derniers, tous écrits dans son style tardif, quelque peu épuré, modèle d'équilibre et de finesse gauloise (ou devrais-je dire bretonne?). Le Quatuor Stanislas joue avec un superbe engagement, dont les imperfections occasionnelles, dues sans aucun doute à l'enthousiasme, ne gâtent en rien un disque merveilleux, très joliment enregistré. »

Guy Rickard

*** Monde de la Musique

"Highly recommended " by Fanfare

9 of Classica-Répertoire

 by Diapason

 

 

published in November  2006

Joseph-Guy Ropartz (1864-1955)

string quartets / complete recording

vol 2: quartets 4/5/6 

Timpani 1C1115

www.timpani-records.com

 

Following the first recording of two mature works by Ropartz, here are the three latter string quartets, composed between 1933 (for the fourth) and 1948 (for the sixth), that is from the composer's 70th and 85th birthdays.

One is struck by the evolution of the style of the Brittany-born maestro, from the first two quartets, still under the influence of Franck (the third already presenting a clear modulation), up to these later works, full of “juvenile vigour and a serene and simple joy”, as a critic of the Revue Musicale wrote after listening to the fourth quartet.

As Arthur Honegger, to whom the sixth quartet is dedicated, says so appropriately, “it can be clearly felt that the man who wrote these pages is not at all preoccupied by success...”

 

Press Review

 

Diapason (Paris, February 2007)  "5 diapasons"

 “... The style, lively and clear, has its place somewhere between Ravel and Honegger.  Is this due to the musician's faith or his unfailing love of life? Probably both. (...).  The Stanislas Quartet, which had already recorded the fourth quartet 10 years ago, deliver a masterful interpretation, full of warmth and tenderness”. 

François Laurent

 

Le Monde de la Musique (Paris, February 2007) ****

 “.. If the Quartet N° 4, solidly built, already shows the greater liberty that distinguishes it from the preceding opus, the Quartet N° 5 to which the composer gave a sub-title “Quasi una Fantasia” is even freer, but includes also a serious note. The Quartet n° 6, one of the last of Ropartz' works , returns to a more classical architecture in four movements and has a more straightforward approach. (...) As in the first volume, the Stanislas Quartet enhances the richness of Ropartz' music. With these complete works, the publisher renders a public service in revealing to music collectors works which should figure more often in cncerts”.                                                                  

                Jean Roy

Classica-Répertoire (Paris, February 2007) Note: 9

 “A few months ago when the first volume of the complete works was published, presenting quartets 2 and 3, we underlined the really exceptional character of these works, as well as the beautiful interpretation of the Stanislas Quartet.  Our admiration continues with this second volume (a third will follow) (...)  It is surprising that such great works have practically never been played since their creation.  It shows the importance of these recordings, always interpreted with precision and sensitivity, and of this well documented edition.”                                                    

Jacques Bonnaure

 

 Fanfare (USA - March 18. 2008) "Highly recommended"

"The Stanislas Quartet is working in the region of Nancy, once Ropartz's stomping grounds. I cannot fault them in any way on technical grounds: quite an accomplishment, in music whose difficulty lies in the way the four parts are usually engaged in some form of intricate byplay. My sole criticism remains, a slight lack of crisp assertiveness in the scherzos and finales. No problem with the adagios, though, where they properly find the emotional core of each work. Highly recommended."

Barry Brenesal  

 The Riviera Reviewe(California, August 23. 2007)

Quoting Jonathan Woolf, "Seeing the words "First Recordings" is always an exciting event. But seeing them emblazoned on this recording of the second and third quartets of Ropartz took me aback. Why has this composer been so badly served by record companies? (...) Neglect is not a word that can be levelled at Timpani, a courageous and intelligent company, a number of whose discs I've reviewed before. They pitch in with a complete edition of the six quartets of which this is the first to be issued. And what a fine and invigorating release it is (...)
Both quartets are attractively recorded and played with flair and commitment by the Quatuor Stanislas. They follow in the august footsteps of the Capet and Calvet in this music- and acquit themselves well." 
 

GRAMOPHONE  ( April 2007 )

A French composer of six quartets – but why are they not better known? French quartets tend to come in ones; think of those by Ravel and Debussy, Magnard, Roussel, Dutilleux. One would imagine, then, that a set of six would be especially welcome, but, for reasons I cannot fathom, those by Joseph-Guy Ropartz remain neglected. The present disc (the second of a set of three) contains this composer's final three, all written in his later, simplified manner and are models of poise and Gallic  - or should I say Breton – finesse. (...) The Stanislas Quartet play with superb commitment and their occasional infelicities (caused doubtless by enthousiasm) do not mar a delightful disc, nicely recorded.”