Presse

En état de grâce

Les concerts de Saint-Germain, décidément, campent sur les sommets : lors du dernier week-end, le quatuor à cordes Stanislas et le baryton François Le Roux s'illustraient dans des pages rares de deux compositeurs eux-mêmes peu fréquentés dans nos salles de concert : Samuel Barber et Othmar Schoeck.

(...) Ce parfait chef-d'oeuvre de quelque quarante cinq minutes place les interprètes continuellement en état de grâce : ligne de chant pure et émouvante, cordes à l'avenant.

Daniel Robellaz LA TRIBUNE DE GENEVE (Suisse, juillet 1993)  

In a state of grace

... This perfect chef-d’oeuvre (Schoeck’s « Notturno ») of about forty-five minutes places the interpreters continually in a state of grace, a pure and moving melodic line for the voice and the strings conforming with this.

Daniel Robellaz

Daniel Robellaz LA TRIBUNE DE GENEVE (Switzerland, July 1993) 

 

...Le festival de création musicale de Radio-France s'est consacré au quatuor, avec non seulement un répertoire à découvrir, mais aussi des interprètes.
Le concert donné par le Quatuor Stanislas fut, à ces deux égards, exemplaire. Les tout jeunes instrumentistes ont témoigné de leur finesse et de leur technique avec les désormais classiques Bagatelles opus 9 de Webern, après avoir donné, en création mondiale, le Sixième Quatuor de Raymond Depraz . (...) Quant à l'electric string quartet de George Crumb intitulé « Black Angels », il a remporté un évident succès. On était au bord du bis, événement rare dans un concert de musique contemporaine.

Hélène Jarry  LA LETTRE DU MUSICIEN / Paris, Mars 1994)

... The Festival of musical premieres of Radio-France is dedicated not only to the discovery of new works but also interpreters. The concert given by the Stanislas Quartet was exemplary in both respects. The young instrumentalists demonstrated their finesse and their technique with the now classical Bagatelles opus9 of Webern after having given the world premiere of the Sixth Quartet of Raymond Depraz. The concert terminated with the electric string quartet « Black Engels » by George Crumb, which received great success with the public.

They were on the verge of giving an encore, a rare event in a concert of contemporary music.

Héléne Jarry

Hélène Jarry (LA LETTRE DU MUSICIEN / Paris, March 1994)

Charme, vigueur et expressivité

Tous quatre sont débordants de vitalité, leurs interprétations respirent l'enthousiasme et la fougue de la jeunesse. Laurent Causse, Gee Lee , Paul Fenton et Jean de Spengler forment un quatuor homogène, juvénile et d'authentique musicalité, perceptible dans tous les styles.

(...) L'adagio, (Beethoven opus 59 n°2) (...) donne à chaque instrumentiste le loisir de s'exprimer: Chacun l'a fait de tout son coeur et de toute sa sensibilité, chaleureuse et virile.

A.M. Meyer (L'Alsace / Strasbourg, juillet 1994)

Charm, vigor and expressiveness of the Stanislas Quartet

All four were brimming with vitality, their interpretation breathed with the ardour and enthusiasm of youth. Laurent Causse and Gee Lee, violins, Paul Fenton, viola and Jean de Spengler, violoncello, form a homogenous quartet with a youthfull and authentic musicality, perceptible in all styles.

(...) The Adagio (Beethoven op.59 no2), a long page where you find again the dreamy even contemplative  composer, gave each instrumentalist the time to express himself; each one did it with all his heart and all his warm and virile sensivity.

A.M meyer (L’ALSACE / Strasbourg, July 1994)

 

Stanislas / Fadial-Vanderborgh super !

Deux ensembles de musique de chambre, le Quatuor Stanislas et le Duo Fadial-Vanderborgh, se sont joints pour un concert dans le cadre de la série "Connaisseurs" à Mount Vernon College. Séparément, ils furent excellents. Ensemble, ils furent admirables. (...)Le sextuor de Brahms opus 18 n°1 exige un coeur généreux et ouvert. C'était le cas de nos interprètes, avec le résultat approprié. L'andante fut particulièrement impressionnant. (...) Le Quatuor Stanislas sut trouver une sonorité croustillante et un style enjoué dans le quatuor opus 77   n°1 de Haydn.

Mark Carrington (THE WASHINGTON POST / 29 Mars 96)

Stanislas/ Fadial / Fanderborgh , wow!

Separatly they were fine; together they were excellent.(...) Brahms’s String Sextet No1 in B-flat, OP.18, a large, genial piece of music, demands flourish and open heart. The ensemble brought both-with the appropriate results. The martial theme and variations of the Andante were particurlarly effective.

Mark Carrington (THE WASHINGTON POST / March 29.96)

CRISTALLINE BEAUTE DES CORDES

Un programme rafraîchissant, comme celui qui fut donné hier dans le cadre de Queens College, représente une véritable oasis dans une ville où la musique de chambre est plutôt rare. (...) Le sextuor de Brahms opus 18 no1 fut joué avec une merveilleuse fluidité, mêlant des sonorités de cordes d'une cristalline beauté.

Willa J. Conrad (THE CHARLOTTE OBSERVER / 31Mars 96) 

CHRYSTALLINE  BEAUTY OF BLENDED STRINGS DELIGHT

A refreshing program like Saturday evening’s concert at Queens College felt like an oasis in a town with so little chamber music... Brahms’s Sextett No1 was lovingly fluid, given a crystalline beauty with a gentle blend of strings.

Willa J. Conrad  (THE CHARLOTTE OBSERVER, March 31.96) 

MUSIQUE AU PLUS HAUT NIVEAU

A côté de la parfaite précision du jeu, c'est l'originalité de l'interprétation qui frappe. Le romantisme de Mendelssohn et de Schubert sonne sans le moindre soupçon de mièvrerie ou de lourdeur (...) Décidément, le raffinement est bien le trait marquant des Stanislas. Ils le prouvent également dans l'interprétation saisissante et sensible du quatuor de Ravel, où l'ensemble sonne véritablement comme un seul instrument.

SAARBRUCKER ZEITUNG (Germany, 24 Mars 97)

MUSIC AT IT’S BEST

More than just perfect playing, was the striking originality of the interpretation. The romanticism of Mendelssohn and Schubert was treated without the slightest hint of exageration. One of the most striking qualities of the Stanislas Quartet is their refined playing. This was especialy noticeable in their precise and sensitive rendering of the Ravel, when the quartet sounded truly like a single instrument.

SAARBRUCKER ZEITUNG (Germany, March 24. 97)

Epoustouflant !

Chaque saison du Festival de l'Eté mosan recèle au moins un concert propre à époustoufler le public et à rester gravé dans les mémoires. Celui de Celles fera sans conteste partie de ces moments de grand bonheur (...) Le Quatuor Stanislas fut parfait d'un bout à l'autre (quatuor n°15 de Schubert et quintette avec piano de Brahms). (Nicole Dockens)

Nicole Dockens  (L’AVENIR / Belgium, 30 août 98)

Breathtaking !

Each year, the music festival  « l’Eté Mosan » produces at least one breathtaking and memorable concert.  The concert of the Quatuor Stanislas was one of those special occasions. (Schubert no15 / Brahms piano Quintet).

Nicole Dockens (L’AVENIR / Belgium, August 30. 98)

 

Beauté intime

Le Quatuor Stanislas se réfère par son nom à Stanislas Leczinsky, ancien roi de Pologne et duc de Lorraine au XVIIIème siècle, qui est pour beaucoup dans le caractère élégant de Nancy, sa ville de résidence. Quelque chose de cette beauté intime, d'esprit classique, transparaît dans le jeu des quatre musiciens, qui explique la   finesse avec laquelle ils ont su restituer la musique de Chostakovitch, entre le quatuor n°4 opus 18 de Beethoven et l'opus 80 de Mendelssohn. (...) Ils sont tous solistes de l'Orchestre Symphonique de Nancy, ce qui a dû contribuer à leur forger un jeu d'ensemble efficace et très homogène. Dans Beethoven prédominait l'esprit d'équilibre classique, bien que la passion s'affirmât sans réserve dans les mouvements rapides. (...) Leur jeu raffiné faisait parfaitement ressortir le romantisme maîtrisé de Mendelssohn. (M.F).  

DER BUND (Berne / SUisse / 16 décembre 1996

UN CONCERT INSPIRE

Dès le quatuor de Joseph-Guy Ropartz, qui ouvrait le concert, les auditeurs furent impressionnés   par la qualité technique et le raffinement stylistique de l'ensemble.
(...) Dans le quatuor opus 10 de Debussy , les quatre instrumentistes démontrèrent là aussi leur souplesse et leurs qualités de « coloristes » de haute volée. Dans un ensemble parfait, le groupe sut trouver le caractère et la couleur propres à chaque mouvement, permettant ainsi de saisir l'unité profonde de l'univers sonore du génial impressionniste français.
La personnalité affirmée et les qualités solistiques des interprètes étaient constamment mises, avec   raffinement et   sensibilité, au service des oeuvres   et des   intentions   des compositeurs.  

Lidia Kuteva ( MUSICA VIVA / Sofia, Bulgaria, April 2000)

In Debussy’s String Quartet op.10 , the four masters again showed their flexibility and skill as musical « painters » of a high rank. With perfect ensemble the group found the exact coloring and character of each movement to unfold unity of the composition within the specific sound world of the genius French impressionist. The clear individuality and soloistic qualities of the performers were subdued with discerning taste and sensitivity to the demands of the chamber compositions and the composer’s intentions.

Lidia Kuteva ( MUSICA VIVA / Sofia, Bulgaria, April 2000)

L'Ambassade de France, en collaboration avec la fondation Teatro Teresa Carreno, organisait la semaine dernière un " mini-festival " baptisé Francia-Venezuela Musica 2001, entièrement consacré à la musique française . (...) Les deux concerts avec la participation du quatuor français Stanislas furent remarquables: le premier a débuté avec une oeuvre fort intéressante du compositeur d'origine belge Guillaume Lekeu, suivie d'une remarquable exécution du quatuor en sol de Claude Debussy. (...) Lors de la seconde soirée , le Quatuor Stanislas a donné une exécution magistrale du splendide quatuor " Ainsi la Nuit " d'Henri Dutilleux.

Javier Sanson (EL UNIVERSAL / Caracas, Venezuela, 10 juillet 2001)

The french ambassy, in connection with the Teresa Carrena foundation, organised a « mini-festival » last week, called Francia-Venezuela Musica 2001, entirely dedicated to French music.(…) The two concerts given by the French quartet Stanislas were remarkable. The first began with a very interesting work by the Belgian composer Guillaume Lekeu, followed by a remarkable rendering of Claude Debussy’s quartet in G.

(…) During the second evening, the Quartet Stanislas gave a brilliant performance of the splendid quartet “Ainsi la Nuit” by Henri Dutilleux.

Javier Sanson​ EL UNIVERSAL (Caracas/Venezuela – 10th July 2001)

 

Prolongement et final des concerts donnés samedi au château de Ripaille de Thonon et dimanche à Rumilly, le Quatuor Stanislas était lundi soir à Annecy pour un programme au coeur duquel figurait en création mondiale le cinquième quatuor du compositeur haut-savoyard Raymond Depraz. (...) La soirée s'ouvrait sur   un Schubert très "chantant", comme on l'aime et brodé comme il faut. Enfin, le quatuor de Debussy, tour à tour apre, claironnant, capiteux et tendre, mettait un noble point d'orgue à cette agréable rencontre bien préparée par une formation dont le jeu sans artifice, attentif aux nuances, aura toujours été... maître du jeu.

P.T

Voix et Quatuor : quelques notes en voyage

(....) Le sixième quatuor de Ropartz ouvrait la soirée : familier de cette musique, le Quatuor Stanislas la défendait avec justesse et cohésion. Impressionnante aussi, la performance des musiciens (dans « l'Impossible Chanson du Matelot » d'Antoine Duhamel) : registres, couleurs, caractères et techniques exigées sont transfigurés  par Brigitte Balleys (...), en belle association avec les Stanislas, servant efficacement ici au premier plan, et là en ombres actives de la voix .

NOUVELLE REPUBLIQUE ( 8 décembre 2005)

"Le 28 avril avait lieu à la salle d'orgue de la Philharmonie le concert du quatuor français « Stanislas », qui a fêté en 2004 ses vingt ans d'existence, et effectuait sa première tournée en Russie. Le répertoire de cet ensemble présente des centaines d'œuvres allant des grands classiques aux contemporains (Henri Dutilleux, Pascal Dusapin, George Crumb etc...). Au programme,  des œuvres de Beethoven, Ropartz, Dusapin et Ravel (...) Le public enthousiaste a ovationné les musiciens français, qui ont offert en bis un Tango d'Astor Piazzolla et un menuet de Mozart (...)"

Ekaterina Oborina ( PERMSKIE SOCIEDI Perm, avril 2006)

Le Quatuor Stanislas au sommet

Les quatre Français qui forment le Quatuor Stanislas maîtrisent manifestement cette musique. Ils jouent avec un ensemble équilibré et une ferveur  qui  servent parfaitement l'écriture transparente du jeune Ravel.(...) Leur son est riche et merveilleusement ciselé, et leur sens la phrase musicale et de sa vie est tout simplement merveilleux. ( ...) Deux artistes  de Caroline du Nord collaborant depuis une douzaine d'année avec le Quatuor Stanislas, John Fadial et Beth Vanderborgh,   se sont joints au quatuor dans le second sextuor de Brahms. Aussi bien joué que l'était auparavant Ravel, mais peut-être avec un ensemble encore plus impressionnant, une précision rythmique, une qualité technique, et une musicalité passionnée et communicative. Sublime musique, merveilleusement interprétée, et je ne pense pas abuser des superlatifs.

Ken Hoover (Classical Voice USA, octobre 2006)

Stanislas performs to the max

The four Frenchmen who form Quatuor Stanislas obviously know this music well.  They played with a balanced ensemble and zeal that etched the transparent craftsmanship of the young Ravel deep into the imagination.  I kept seeing, in my mind's eye, a sort of pliable, yet liquid silvery metal that kept taking new and fascinating shapes.Their sound was rich and wonderfully detailed, and their sense of the music's spaciousness and liveliness was quite wondrous (…).Two North Carolina artists who have enjoyed a 12-year collaboration with Quatuor Stanislas, John Fadial and Beth Vanderborgh, were to join the quartet for the Brahms sextet.As well played as was the Ravel quartet earlier, this was even richer with impeccable ensemble, rhythmic precision, technical expertise and expansive, passionate musicianship.  Gorgeous music, exquisitely
performed, and I do not believe I have overdone the superlatives.

Ken Hoover (Classical Voice USA / October 2006)

 

Le Quatuor Stanislas, célébrant pour cette saison « Beethoven et l'héritage européen », avait invité son homologue luxembourgeois, le Quatuor Louvigny, pour une soirée placée sous le signe de l'année du « Luxembourg et sa grande région, capitale européenne de la culture 2007 ». Un programme résolument européen pour ce concert, puisque Bartók côtoyait aisément Brahms et... Olivier Dartevelle, vosgien de naissance, clarinette solo au Philharmonique de Luxembourg et Professeur au C. N. R. de Nancy !

(...) Vint une création mondiale, le Double Quatuor d'Olivier Dartevelle, qui présente lui-même son œuvre, non comme un octuor, mais comme une « rencontre entre deux quatuors », en l'occurrence ici, les Stanislas et les Louvigny. La pièce est constituée par « une suite de onze moments enchaînés s'articulant autour de diverses idées symboliques et musicales ».

(...) Un concert des plus réussis, qui nous a permis d'apprécier le talent des deux Quatuors, et aussi d'Olivier Dartevelle, remarquable « maître de musique » de la soirée. Les Stanislas, représentants nancéiens, ont visiblement parié juste en invitant leurs collègues luxembourgeois dans une rencontre des cultures et des musiques ! Un grand merci à eux, et un grand bravo à tous 

Audrey Roncigli (Resmusica.com / 1er février 2007)

....Pour finir, le Quatuor Stanislas de Nancy (France), qui s'est produit dans la salle Lopez Buchardo du Conservatoire National, où il avait donné une masterclass  l'après-midi même. C'est un ensemble sérieux, solide, particulièrement  à l'aise dans l'unique quatuor de Ravel, et qui nous a  en outre  gratifiés d' une intéressante découverte : Guy Ropartz (1864-1955), distingué compositeur qui résida à Nancy entre les deux guerres, rarement programmé de nos jours, ce qui rendait d'autant plus intéressante l'audition de son cinquième quatuor; heureusement, cela s'est révélé de surcroît de la bonne musique, à laquelle l'auditeur n'avait pas à regretter d'y avoir consacré son temps.

Pablo Bardin ( Buenos Aires Herald, juillet 2007)

…Finally, the Stanislas Quartet from Nancy, France. The venue was the concert hall of the National Conservatorium López Buchardo, where they gave a master class earlier in the afternoon. It is a solid, serious ensemble, particularly at ease in Ravel’s only Quartet. They included an interesting item; Guy-Ropartz (1864-1955) was a distinguished composer resident in Nancy in the interwar period and is rarely programmed nowadays, which made the audition of his Quartet No. 5  useful as information;  fortunately it proved to be good music well worth the listener’s time.                                                                                                   

 Pablo Bardin  (Buenos Aires Herald, July 2007)

(...) Le Quatuor Stanislas a joué en deuxième partie l'impressionnant quatuor no13 opus 130 de Beethoven, concluant de superbe manière l'interprétation de l'intégrale des quatuors du compositeur allemand. Cette oeuvre d'une incroyable densité est un diamant noir dont les membres du quatuor ont éclairé les multiples facettes .

Didier Hemardinquer (22 mai 2012)

LE DEBUSSY INCONNU, une rencontre organisée par le Festival Musical

Notre opinion : excellent

(…) Pour ce concert du Festival Musical, nous avons retrouvé l’Ensemble Stanislas, originaire de la ville française de Nancy, qui cultive la saine habitude de programmer des œuvres habituellement ignorées des organisateurs de concerts. On a pu le constater dès le début de la soirée, quasiment en première audition en Argentine, avec le merveilleux Trio en sol majeur pour piano, violon et violoncelle, que Debussy composa en 1880, à l’âge de 18 ans, au cours d’un séjour dans un lieu paradisiaque, et qui ne fut découvert que cent ans plus tard. (…) Le contraste esthétique et stylistique est total avec le quatuor en sol mineur opus 10, dont le Quatuor Stanislas a donné une formidable version. C’est le Debussy original, unique (…) Les quatre musiciens cultivent un art subtil de la suggestion dans la mise en valeur des savants développements du discours musical.
(…) Le concert s’est achevé avec une des œuvres de musique de chambre les plus connues de Franz Schubert, le quintette « La Truite », qui porte le titre d’un de ses six cents Lieder (…)
L’interprétation de l’ensemble français fut digne, s’approchant même parfois du sublime.

René Vargas Vera (LA NACION / Buenos Aires, 22 août 2012) 

"....Le pivot du concert était Henri Dutilleux, avec son quatuor « Ainsi la Nuit », composé en 1976 sur une commande de la Fondation Koussevitsky. Tout comme le compositeur, décédé en mai de cette année, incarnait dans son œuvre tradition et modernité, son quatuor s’intercalait entre le quatuor opus 18 no3 de Beethoven et le quatuor opus 10 de Debussy. Le Quatuor Stanislas a dominé avec un grand raffinement sonore cette œuvre foisonnante en sept mouvements, faisant référence   tant au grégorien qu’à l’atonalité. L’interprétation homogène, parfaitement équilibrée sur le plan sonore, d’une fougueuse musicalité, s’est imposée là tout comme dans la ligne classique de Beethoven  ou dans le merveilleux quatuor de Debussy, tout en nuances pentatoniques brillantes et colorées. Ainsi le second mouvement (assez vif et bien rythmé), suspendu avec une légèreté de plume, et le Finale avec sa strette bouillonnante, furent un véritable festin pour les oreilles."

Claus-Dieter Hanauer ( Badische Neueste Nachrichten / 22 novembre 2013)

"...Le quatuor opus 16 d'Albéric Magnard est une oeuvre visionnaire, très bien interprétée par le Quatuor Stanislas (...) On était pris aux tripes par le splendide quintette avec piano, composé par Louis Vierne en mémoire de son fils tué à la guerre en 1917. Un magnifique chant d'amour, de désespoir et de souvenirs douloureux que les Stanislas et Christian Ivaldi ont porté avec une rare intensité et une profondeur admirable. "

Didier Hemardinquer